Deborah Digrispino a un œil d’aigle pour parsemer le « i » final et traverser le « t » final. Elle est motivée par une communication claire et concise qui établit un lien avec l’auditoire et entame une conversation. Lorsque l’ordinateur est éteint, son souci du détail est axé sur les films de Mafia (oui, prenez le cannoli), les vrais documentaires sur le crime et la recherche de sites de tombes de célébrités.